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Vous avez pu apprécier le 10-OH-HHC parmi nos nouveaux produits, aujourd’hui, on vous parle de son cousin le 8-OH-HHC !
Bien que ces deux métabolites soient très proches l’un de l’autre au niveau moléculaire, le 8-OH-HHC a un niveau d’interaction unique qui lui permet de développer ses propres spécificités et des effets distincts.
Vous voulez en apprendre plus sur le 8-Hydroxyhexahydrocannabinol ? Ne bougez pas, on vous fait découvrir cette nouvelle pépite, dérivée du CBD, qui va faire fureur sur le marché.
Le 8-oh hhc, est un métabolite, c’est-à-dire un sous-produit créé par la « digestion » du HHC par le corps.
Lorsqu’on consomme du HHC, celui-ci se répand dans le sang avant d’être filtré et traité par le foie, et traité par ses enzymes. Suite au traitement par les différents enzymes, une série de dérivés oxygénés est créée. Certains de ces sous-produits conservent une activité biologique et psychoactive, c’est le cas des deux qui nous intéressent ici, le 10-OH-HHC et le 8-OH-HHC.
Mais il faut savoir qu’ils sont loin d’être les seuls métabolites créés par la consommation de HHC. On ne sait pas exactement combien sont créés, mais le HHC étant traité comme le thc en de nombreux points, on considère qu’il pourrait en créer un nombre à peu près équivalent, soit environ 80 métabolites différents.
Certaines études préliminaires, comme celles menées par le professeur Mechoulam lors de la découverte des métabolites du HHC dans les années 40, ont pu démontrer que le 8-OH-HHC pouvait avoir des effets psychoactifs similaires au HHC. Ces derniers sont eux-mêmes assez proches de ceux du Delta 9 THC.
Selon les résultats de ces études, il semble que le 8-oh-hhc puisse engendrer des interactions avec les récepteurs CB1 et CB2, provoquant :
Vous l’aurez compris, au vu de ses effets, le 8-OH-HHC pourrait être un candidat parfait si vous cherchez une alternative légale pour remplacer le HHC et le HHC-Po qui sont maintenant interdits.
Comme on l’a dit, il existe de nombreux points communs entre le 8 oh HHC et le 10 oh hhc. Au niveau moléculaire, la différence est assez ténue, ils se distinguent par la position de leurs groupes hydroxyles (OH). Ce dernier se place en 8ème position de la chaîne carbonée pour le 8 oh et en 10ème pour le 10 oh hhc.
Au niveau des effets, les deux molécules sont assez similaires au HHC. Il sont capables d’effet psychoactifs et d’un effet de High assez proche. Mais l’effet psychoactif du 10 oh hhc aura tendance à être plus court alors que le 8-oh-hhc est plus long mais plus doux.
Une autre différence entre l’un et l’autre réside dans le fait que le 10 oh HHC a pu être relevé en très petite quantité sur certaines fleurs de cannabis. Ce qui n’est pas le cas du 8 OH, celui-ci n’a jamais été repéré ailleurs que dans les sécrétions corporelles humaines ou animales.
Bien que connu depuis les années 40, il existe à ce jour très peu de données scientifiques fiables et solides à propos du 8 oh HHC. Le composé n’a pas encore fait l’objet d’études approfondies et exhaustives. Cependant, les quelques données que nous avons à propos du 10 OH HHC et celle, beaucoup plus fournies sur les métabolites du Delta 9 THC, peuvent nous éclairer sur les potentielles utilisations médicales du 8 OH HHC.
La plupart des cannabinoïdes sont connus et largement étudiés pour leur potentiel anti-douleur, notamment contre des douleurs chroniques, leur potentiel anti-inflammatoire et neuroprotecteur.
Il est très possible, qu’en raison de son interaction avec les récepteurs CB1 qui joue un rôle clé dans la gestion de la douleur, le traitement des inflammation et de certaines maladies neurodégénératives, le 8-OH-HHC puisse trouver une application en médecine dans ces domaines. Mais pour l’heure, aucune preuve de vient confirmer ni infirmer ces suppositions.
En France, le HHC et ses dérivés tels que le HHCO, le HHCP et le HHCPO ont été interdits. Mais le 8-oh-hhc, et les autres métabolites du hhc, sont des découvertes récentes, elles viennent tout juste de faire leur entrée sur le marché du CBD. Pour l’heure, aucune régulation ne porte précisément sur ces molécules, elles sont donc légales tant qu’elles contiennent moins de 0,3% de THC.
Dans l’Union Européenne, seules la France, l’Autriche, l’Estonie, la Pologne, la Suède et la Hongrie ont interdits de même le HHC et ses dérivés. Mais, pour l’instant, aucun pays ne s’est prononcé sur le 8-OH-HHC et le 10-oh-hhc.
Les métabolites du HHC ont été étudiés en vue d’une utilisation à des fins de tests et de dépistage. En effet, s’agissant de sous-produits de la consommation, ce sont eux qui sont recherchés comme preuve de la consommation de HHC.
Le 8-OH-HHC est le métabolite le plus fortement et rapidement représenté dans la salive lors de la consommation de HHC. Des tests réagissant à cette molécules pourraient être mis en place, mais le HHC étant simplement interdit, ces tests n’ont pas été développés.
Néanmoins, les fleurs et résines de 8-Oh-HHC sont comme tous les autres produits au CBD : il peuvent contenir jusqu’à 0,3% de THC ce qui ce qui donne un résultat positif au test routier et pourrait vous valoir quelques ennuis si vous en fumez avant de prendre le volant.